Cette phrase de Jacques Chirac date de 2002 et notre maison brûle encore et toujours plus.
Les catastrophes se multiplient (Canada, pluies diluviennes non loin de chez nous en Belgique et en Allemagne, en Louisiane, à New-York…).
Cela nous montre que le dérèglement climatique est réel, tangible. Il détruit des vies, la faune, la flore ; la planète !
Au-delà de ces tragédies, différents rapports, comme celui du GIEC, nous alertent sur les conséquences à venir. Cette crise engendre des crises dans tous les domaines : l’économie, le social…
Nous voulons croire que la prise de conscience peut encore aider à la survie de l’humanité.
Il n’y a pas de planète B !
Pour cela il est important que chaque décision et initiative prenne toujours et encore en compte l’impact environnemental.
C’est l’affaire de tous : populations, politiques, entreprises et associations.
Si la pensée est globale, l’action doit être locale, individuelle et collective, comme par exemple, la jeunesse qui s’implique beaucoup dans cet enjeu.
Il est encore temps de changer nos modes de vie. Si on ne le fait pas, la planète le fera à notre place et de façon désastreuse.
Chaque geste compte !
Bonne rentrée, nous sommes à votre service.